Les connexions au site Toopneus.com grimpent depuis la rentrée, pour les commandes de pneus hiver.
Les connexions au site Toopneus.com grimpent depuis la rentrée, pour les commandes de pneus hiver.
« Après une saison compliquée l’an dernier, les automobilistes anticipent et la tendance devrait se poursuivre jusqu’aux vacances d’hiver. Il y a toujours ceux qui ignorent qu’un pneu hiver se place bien avant la neige, quand la température arrive en dessous de 7°, et ceux qui attendent d’être coincés, mais ça reste une période d’activité intense ».
Frédéric et Pierre Bardot tracent leur route dans la vente de pneus en ligne. À la création de leur société, en 2005, à Vichy, ces deux anciens patrons d’une station de montage installée avenue Poincaré avaient quinze ans d’expertise derrière eux. Et une ambition : « Proposer aux particuliers et aux professionnels un pneu pas cher, de qualité, pour tout type de véhicule, en leur donnant le choix des grandes marques à petits prix, avec un service clients accessible et réactif comme clé de voûte. On a été les pionniers ».
Six ans plus tard, Toopneus met la gomme avec près de 13.000 références, un réseau de 1.500 centres de montage partenaires qui s’étoffe dans tous les départements, et plusieurs centres logistiques en France et ailleurs. « Depuis 2009 , nous avons étendu notre activité à huit pays d’Europe et développé le service clients en version multilingue ».
En 2010, Toopneus a enregistré un chiffre d’affaires de 5,7 millions d’euros et plus d’un million de visites sur le site. Les frères Bardot, à l’étroit dans leurs bureaux, au-dessus du centre de montage de l’avenue Poincaré, sont aujourd’hui à la recherche de locaux plus grands, plus accessibles et mieux placés, « donc proches d’une ZAC du bassin vichyssois ». « Nous avons le projet d’ouvrir, au plus tard en fin d’année prochaine, un nouveau pôle européen Toopneus. Le siège social y sera déménagé, ainsi que le service clients international et le soutien logistique. Une unité sera aussi entièrement dédiée à notre clientèle professionnelle ».
Source : La Montagne
