Un grand nombre d'exposants étaient présents sous la galerie du parc des Sources, ce dimanche, pour la première édition d’un nouveau Marché des Arts appelé à se renouveler tous les mois.
Un grand nombre d'exposants étaient présents sous la galerie du parc des Sources, ce dimanche, pour la première édition d’un nouveau Marché des Arts appelé à se renouveler tous les mois.
Peintures à l’huile et toiles au fusain, imposants vases multicolores, petites statues de personnages en terre cuite. Et même un couple de personnages faits de bronze et d’inox, assis tranquillement, au beau milieu de la galerie du parc des Sources.
Ce dimanche, des oeuvres d'une quinzaine d’exposants d'arts étaient dévoilés au public à l’occasion d’un tout nouveau Marché des Arts qui, pour sa première édition, n’a pas manqué d’attirer la foule. Des curieux venus voir et admirer, bien sûr, mais aussi prendre le temps d’échanger avec les artistes.
C’est d’ailleurs bien « pour amener le public directement au contact des artisans » qu’a été mise en place cette nouvelle animation, précise Franck Dichamps, conseiller municipal délégué aux grands événements. « Il y a des gens qui ne vont jamais dans les boutiques ou les salles d’expos. En s’installant sous la galerie, ce sont les artistes qui vont directement à eux. Et des artistes de grande qualité ! ».
Une nouvelle manifestation saluée par les exposants. À l’image de Marilyne Simon, artiste vichyssoise maîtresse dans l’art de la sculpture et de la peinture : « Ce genre d’événements spécifiquement dédiés aux artistes manquait à Vichy. Or les Vichyssois sont intéressés par l’art. Ils ne viennent pas nous voir par hasard ». Même constat pour Brigitte Lombard, spécialiste de l’art japonais du « Raku » : « Il y a à Vichy une clientèle pour l’art. Les gens ne font pas que regarder, ils achètent aussi ».
Tout semble réuni pour que ce nouveau Marché des Arts perdure, donc, dans un cadre à la beauté unanimement saluée par les exposants. Rendez-vous est déjà donné, en tout cas, les 14 octobre, 11 novembre et 9 décembre. Et pourquoi pas au printemps, ensuite, si le succès de ce marché se confirme.
Source : lamontagne.fr
