Pour faire face à la baisse de l’argent public et entrer dans les 5 grands critères d’éligibilité du nouvel appel à projet de l’État concernant les pôles de compétitivité, Céréales Vallée, installé au Biopôle Clermont-Limagne, à Saint-Beauzire, annonce sa fusion, en 2019, avec un autre pôle de compétitivité, basé à Angers.
Pour faire face à la baisse de l’argent public et entrer dans les 5 grands critères d’éligibilité du nouvel appel à projet de l’État concernant les pôles de compétitivité, Céréales Vallée, installé au Biopôle Clermont-Limagne, à Saint-Beauzire, annonce sa fusion, en 2019, avec un autre pôle de compétitivité, basé à Angers.
Créés en 2005, ils sont incités à se réorganiser. Concrètement pour Céréales Vallée et ses 115 adhérents – « un chiffre en augmentation constante », revendique Bernard Béjar, directeur général – l’argent public (État, Région, Clermont Métropole et Riom Limagne et Volcans) représente 43 % du budget de fonctionnement chaque année. Ce qui a permis de porter 350 projets pour 550 millions d’euros.
L'objectif de s'éttoffer pour Céréales Vallée est déjà de se tourner vers l’international avec un credo : « Répondre aux besoins alimentaires de plus de 9 milliards d’individus en 2050, tout en limitant l'impact sur l'environnement».
Créés en 2005, les pôles de compétitivité rassemblent, sur un territoire bien identifié et sur une thématique ciblée, des entreprises petites, moyennes ou grandes, des laboratoires de recherche et des établissements de formation.