Industrie du luxe

Publié le 07/01/2014

Intégrées à un secteur du luxe très rentable, les PME du cuir restent fragiles. Un plan de soutien se prépare.

Intégrées à un secteur du luxe très rentable, les PME du cuir restent fragiles. Un plan de soutien se prépare.

Le récent rachat de la tannerie Bodin-Joyeux par Chanel illustre les tensions qui s'exercent sur les PME de la maroquinerie, l'une des faces cachées du luxe made in France. Derrière les géants LVMH, Kering, Hermès et Chanel, les sous-traitants vivent des heures difficiles. « Le carnet de commandes est plein, l'usine tourne à plein régime, nous vendons des peaux en Italie et en Chine, mais l'approvisionnement est un combat de tous les instants », confiait Frédéric Bodin quelques semaines avant de céder son entreprise.

Source et en savoir plus : www.lesechos.fr