St-Yorre, une vieille histoire de bulles

Publié le 17/11/2016

En 1936, l’usine de St-Yorre résonne des bruits de son premier embouteillage industriel. 80 ans plus tard, ce sont plus de 100 millions de bouteilles d’eaux gazeuses Vichy Célestins, Vichy Saint-Yorre et Châteldon qui quittent chaque année ses entrepôts grâce au travail de 150 salariés.

En 1936, l’usine de St-Yorre résonne des bruits de son premier embouteillage industriel. 80 ans plus tard, ce sont plus de 100 millions de bouteilles d’eaux gazeuses Vichy Célestins, Vichy Saint-Yorre et Châteldon qui quittent chaque année ses entrepôts grâce au travail de 150 salariés.

Depuis 1955, l’usine est la propriété de la Société commerciale d’eaux minérales du bassin de Vichy (SCB), appartenant au groupe Alma, leader national de l’embouteillage (Cristalline, Rozana, Courmayeur, Thonon…). L’eau de St-Yorre est captée directement sous l’usine, où l’eau Vichy Célestins est acheminée dans des conduits en PVC haute pression, dispositif indispensable pour préserver la qualité de l’eau (une petite usine dans la ville de Châteldon embouteille son eau).

A son arrivée, l’eau est déferrisée, puis son gaz carbonique, stocké dans des bonbonnes, est réintroduit dans les mêmes proportions qu’à l’émergence.
Après la création, en 2013, d’une bouteille plus pratique, siglée du Y symbole de St-Yorre, la marque vient de compléter sa gamme avec un format plus adapté aux personnes seules ou aux sportifs. L’eau de St-Yorre, reconnue pour favoriser la réhydratation et la récupération, est depuis quinze ans l’eau officielle de la Fédération française de rugby.

Bénédicte Rollet pour BrefEco.com