Un projet de drive, une ouverture prochaine, deux récentes, sans compter l’existant

Publié le 07/01/2013

Rapidité, simplicité, budget maîtrisé car peu de place pour les achats d’impulsion, le tout pas plus cher qu’en magasin. Les surfaces exploitent le filon du drive.

Rapidité, simplicité, budget maîtrisé car peu de place pour les achats d’impulsion, le tout pas plus cher qu’en magasin. Les surfaces exploitent le filon du drive.

Faire ses courses alimentaires depuis son canapé, en évitant la cohue des rayons. Une tentation qui s'empare de plus en plus des consommateurs internautes. « C'est simple d'utilisation et on choisit l'heure de retrait », explique Christophe.

Comme lui, de nombreux actifs, qui travaillent à Vichy et habitent à l'extérieur, profitent de la pause déjeuner ou de la débauche pour aller récupérer leurs courses. « Les créneaux 12 heures-14 heures et la fin d'après-midi sont les plus prisés, explique Christelle Géranton, la responsable du drive de Cora. Notre clientèle va de Bellenaves à Saint-Priest-la-Prugne (Loire) et de Bessay-sur-Allier à Maringues (Puy-de-Dôme). »

Seul drive de l'agglo entre avril et décembre, Cora a enregistré près de 13.400 commandes, soit une soixantaine par jour en moyenne. « C'est plus qu'initialement prévu. » Et un succès qui incite les concurrents à se lancer.

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